« Le juste milieu, ce n’est pas un endroit pour toi. Je vois la flamme en toi, parfois la colère, parfois l’amour…Au milieu rien. »
Marc Trévidic in Ahlam
« Le juste milieu, ce n’est pas un endroit pour toi. Je vois la flamme en toi, parfois la colère, parfois l’amour…Au milieu rien. »
Marc Trévidic in Ahlam
Présentation de l'éditeur : "Une femme rêvait de partir.
De prendre le large.
Après un long voyage, elle arrive à Kodiak (Alaska). Tout de suite, elle sait : à bord
d’un de ces bateaux qui s’en vont pêcher la morue noire, le crabe et le flétan, il y a
une place pour elle. Dormir à même le sol, supporter l’humidité permanente et le sel qui
ronge la peau, la fatigue, la peur, les blessures…
C’est la découverte d’une existence âpre et rude, un apprentissage effrayant qui se
doit de passer par le sang. Et puis, il y a les hommes. À terre, elle partage leur vie,
en camarade.
Traîne dans les bars.
En attendant de rembarquer.
C’est alors qu’elle rencontre le Grand Marin."
On rêve souvent de tout quitter, partir, larguer les amarres. Catherine Poulain l’a fait. Pendant 10 ans, elle a péché en Alsaka dans des conditions extrêmes, repoussant chaque jour plus loin ses limites. Elle publie un premier roman inspiré par les cahiers qu’elle a tenu durant toute sa vie. Le grand marin est un roman intense et fort où vents contraires et tempêtes n’ont jamais autant permis d’avancer non seulement à la rencontre des autres mais aussi dans la propre connaissance de soi-même.
« Croyez-moi, Madame, la froide tranquillité, le sommeil de l’âme, image de la mort, ne mènent point au bonheur ; les passions actives peuvent seules y conduire ; et malgré les tourments que vous me faites éprouver, je crois pouvoir assumer sans crainte, que, dans ce moment, je suis plus heureuse que vous. »
Claire Berest in Bellevue
Présentation de l'éditeur : "Juillet 2013 en province. Comme chaque été, Corentin
retrouve, au côté de son parrain, Yvan, son emploi saisonnier de vidéaste de mariage.
Chargé d’accompagner les couples des premières heures de la journée la plus importante
de leur vie jusqu’au matin suivant, il recueille leurs espoirs et leurs désillusions,
leurs joies et leurs détresses, parfois. Mais à vingt-sept ans, il est temps de faire
des choix, amoureux tout autant que professionnels. Corentin a devant lui cinq mariages
et aucun enterrement pour trouver sa voie. Analyse des sentiments, amertume et plaisir,
empathie pour les personnages... On retrouve dans Mariages de saison tout ce qui fait
le charme des romans de Jean-Philippe Blondel."
Jean-Philippe Blondel écrit pour les adultes et la jeunesse, des histoires le plus souvent en province ou sur le rapport entre Paris et le « reste du monde ». 6h41 et Un hiver à Paris sont des romans qui m’ont particulièrement touchée pour l’authenticité et la fragilité qui se dégagent des personnages. Avec Mariages de saison, l’auteur poursuit son exploration de la liberté de choix et porte un regard doux-amer sur le mariage et ses représentations dans la société.
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