Jean-Baptiste Andrea : « Des diables et des saints »

« Sans passé, sans avenir, sans avant et sans après, un orphelin est une mélodie à une note. Et une mélodie à une note, ça n’existe pas. »

Il faut parfois sombrer pour renaître. C’est ce que semble nous dire entre les lignes Jean-Baptiste Andrea qui signe un troisième roman absolument remarquable sur l’enracinement d’une vie et les rêves qui se brisent dans la violence insidieuse d’un pensionnat où la lumière finira par reprendre ses droits non sans délaver beaucoup d’illusions.

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Alexandra Koszelyk : « A crier dans les ruines » #RL2019

« Il est des images qu’on garde à l’abri, dans le creux de nos cicatrices. »

Ce premier roman d’Alexandra Koszelyk est un cri. Un cri d’amour. On y regrette le fatum, on y espère l’apaisement, on y cherche une réparation. Un roman d’une grande maturité stylistique au service d’une histoire poignante.

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Monica Sabolo : « Eden » #RL2019

Monica Sabolo a publié 6 romans  dont Tout cela n’a rien à voir avec moi, Summer, Crans-Montana. Ses thèmes de prédilection sont la nature, l’adolescence et la disparition. Eden s’inscrit dans cette lignée avec plus de puissance romanesque que jamais.
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Philippe Besson : « Un certain Paul Darrigrand »

Philippe Besson remonte le fil de ses souvenirs et plonge dans les tourments du début de l’âge adulte, entre révolte et espoir.

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Baptiste Beaulieu : « Toutes les histoires d’amour du monde »

#toutesleshistoiresdamourdumonde de Baptiste Beaulieu aborde la question de l’amour contrarié sous plusieurs formes.

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Nathalie Piégay : « Une femme invisible » #RL2018

Cela fait maintenant plusieurs romans que je lis sur les années folles et les années qui en découlent. L’excellent roman, « La nuit pour adresse » de Maud Simonnot sur Mac Almon, l’attachante « Légende d’un dormeur éveillé » sur Robert Desnos de Gaëlle Nohant et le portrait à quatre mains des soeurs Berest sur leur grand mère, épouse de Picabia dans le roman « Gabriele« . J’aime donc cette époque, cette effervescence créatrice, ces prises de positions fortes des artistes et bien sur la musique d’Eric Satie. Lisez à ce propos l’excellent livre de Stéphanie Kalfon « Les parapluies d’Erik Satie« .
Celui ci s’inscrit dans une singularité car comme son nom l’indique il s’attache à explorer la vie d’une femme de l’ombre, la mère de Louis Aragon.

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