« Sans passé, sans avenir, sans avant et sans après, un orphelin est une mélodie à une note. Et une mélodie à une note, ça n’existe pas. »
Il faut parfois sombrer pour renaître. C’est ce que semble nous dire entre les lignes Jean-Baptiste Andrea qui signe un troisième roman absolument remarquable sur l’enracinement d’une vie et les rêves qui se brisent dans la violence insidieuse d’un pensionnat où la lumière finira par reprendre ses droits non sans délaver beaucoup d’illusions.
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