Pour le Jour 8 du calendrier c’est Leila Slimani qui dévoile son coup de cœur à glisser sous le sapin !
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Pour le Jour 8 du calendrier c’est Leila Slimani qui dévoile son coup de cœur à glisser sous le sapin !
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En cette journée de lutte pour les droits de la femme, il est important pour moi de mettre en lumière des plumes, des personnalités, des univers féminins : un questionnement sur la femme, son corps, ses convictions et sa lutte pour les libertés.
A découvrir sans plus tarder 12 auteures !
(Si vous cliquez sur leur nom, vous accéderez à une interview « Chut c’est un secret », si vous cliquez sur le titre, vous accéderez à la chronique du livre)
Encore une année qui vient de s’écouler !
Voici le top 10 des articles que vous avez plébiscités durant cette année.
Pour le mois de décembre, j’ai la chance d’avoir une carte blanche pour l’actu du parcours littérature et BD du site des médiathèques de Strasbourg. Voici mon petit texte écrit pour l’occasion.
Décembre et sa ribambelle de prétextes pour faire la fête vient d’arriver. Si sous le sapin de nombreux produits culturels vont être découverts avec plus ou moins d’enthousiasme, la communion aura surement lieu ailleurs… et sûrement autour des plaisirs de la table.
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J’ai fait la connaissance de Leila Slimani avec son premier roman, Dans le jardin de l’ogre. Un roman sur la dictature du corps, le désir féminin et ses dérives. Chanson douce s’inscrit dans cette recherche de la juste distance entre les corps et avec son propre corps. Il y a quelques jours, avant d’être distinguée par ce prestigieux Prix Goncourt, elle a eu la gentillesse de répondre à mes questions. Merci à elle et bravo pour ce prix !
© Bénédicte Junger
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Il s’agit de Leila Slimani et d’un extrait de son premier romans Dans le jardin de l’ogre.
« Dans cette semi-pénombre, la fenêtre ouverte sur des nuages mauves, Adèle regarde l’homme nu. Le visage enfoncé dans l’oreiller, il dort d’un sommeil rassasié. Il pourrait aussi bien être mort, comme ces insectes que le coït tue.
Adèle sort du lit, les mains croisées sur ses seins nus. Elle relève le drap sur le corps endormi, qui se recroqueville pour mieux se réchauffer. Elle ne lui a pas demandé son âge. Sa peau lisse et grasse, la chambre de bonne où il l’a emmenée laissent supposer qu’il est plus jeune qu’il ne l’a prétendu. Il a des jambes courtes et des fesses de femme. »